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sexpol
SEXPOL (13) sex is vulgaire
SEXPOL (13)
"Vulgaire", le premier parc à thème sexuel en Chine ne verra pas le jour
AFP
18/05/2009 15:03
Le premier parc à thème sexuel en Chine, qui devait ouvrir le 1er octobre dans le sud-ouest du pays, a été annulé en raison de sa "vulgarité" et de "son influence néfaste" sur la société, a rapporté lundi la presse chinoise.
"Le pays de l'amour", qui avait provoqué un tollé avec ses sculptures géantes d'organes génitaux et son atelier de "technique", devait ouvrir à Chongqing, mais les autorités locales ont décidé, après enquête, de tout annuler, a rapporté le Global Times.
Le journal publie une photo d'ouvriers démontant une statue géante de la moitié inférieure d'un corps de femme qui avait choqué des internautes notamment: jambes écartées, vêtue d'un string et tournant sur elle-même.
"L'enquête à révélé que le contenu du parc était vulgaire et qu'il n'était ni sain ni éducatif", a déclaré un responsable local cité par le journal. "Il (aurait eu) une influence néfaste sur la société et a dû être démantelé immédiatement".
He Shizhong, un responsable de la promotion de la municipalité, a expliqué pour sa part que la compagnie en charge du parc à thème "avait fait fi de sa responsabilité sociale et n'était motivée que par les profits du sensationalisme".
Sans commentaires !
Sexpol (11) François Bayrou – Juge Burgaud : même combat !
Sexpol (11)
François Bayrou – Juge Burgaud : même combat !
Il est un fait que la frasque du frustré sexuel béarnais tombe à pic pour alimenter notre série d’articles SEXPOL.
Ces accusations à peine dissimulées de pédophilie à l’égard de Cohn-Bendit lors de ces expériences « reichiennes » dans les années 70 sont un aveu manifeste et révèle que, bien que plus âgé que le Juge Burgaud, il n’est pas plus expérimenté sexuellement pour autant.
Rappelons 3 choses :
http://poilagratter.over-blog.net/article-19869774.html
On l’a déjà dit, Sigmund Freud (et donc Wilhelm Reich) a défini 3 sexualités et 3 âges correspondants :
Sexualité des excréments pour l’enfance
Sexualité masturbatoire pour les adolescents
Sexualité génitale pour les adultes
Ce serait peut-être la 1ère et sa nature qui choquerait le toqué béarnais. Il l’a bien connu étant enfant et ne s’en rappelle pas… ou plutôt l’a occulté. Des frustrations et des refoulements en sont manifestement la conséquence.
Soulignons qu’on ne passe pas du jour au lendemain d’une étape à l’autre. On ne s’endort pas un soir enfant pour se réveiller le lendemain adolescent. Il est évident que ces âges se chevauchent. C’est d’ailleurs la fonction de l’étape intermédiaire, adolescente. Elle peut se chevaucher avec les 2 autres, mais jamais il ne peut y avoir chevauchement entre la 1ère et la 3ème. Cela doit être clairement dit car il est un fait que les pédophiles se sont engouffrés dans la théorie Freud-Reich et l’on connaît des dérives sectaires comme les Raëliens ou les AAA en Autriche. Un discours que nos anciens partenaires de l’ESE relayent sur leur site. C’est une des causes de notre séparation.
Ceci dit entre les vrais pédophiles qu’il faut soigner (et interner s’il y a dérive criminelle) et ceux qui, tel Bayrou ou Burgaud en voient partout comme Dutronc voyaient des cactus dans un de ses tubes des années 60, il y a une marge, un fossé, un canyon.
Là, ce sont ces frustrés sexuels qu’il faut soigner (et interner s’ils font de la politique ou rendent la Justice, ce qui dans leur cas est une dérive criminelle avérée (Burgaud) pour avoir exercé le pouvoir ; ou potentielle (Bayrou) s’il est un jour au pouvoir).
Cohn-Bendit a bien raison de dire que ce fêlé de la calebasse (comme on dit là-bas) ne sera jamais Président.
Et il faudra tout faire pour l’en empêcher car les cons de votants le mettent en 3ème position, ce qui n’est pas rien (et l’on voit par là-même le danger du suffrage universel, un populisme autrement plus dangereux que celui qu’incarne Le Pen, car masqué ; comme le sont ses frustrations sexuelles qui n’apparaissent que dans certaines circonstances comme celle que su créer le toujours génial Dany, même si on ne le suit pas chez les Verts).
N’oublions pas que Bayrou serait aussi membre de la Trilatérale, organisation créée par la CIA pour mettre l’économie européenne sous le joug américain. Bref, quelqu’un de dangereux et d’inquiétant, dont l’ambition politique démesurée est proportionnelle à ses refoulements sexuels.
On a là, un cas d’école.
SEXPOL (10bis)
Commentaires sur l’article AFP http://poilagratter.over-blog.net/article-31576691.html qu’on avait oublié de rajouter… ce dont vous ne vous êtes même pas aperçu, bande d’abrutis, puisque la case commentaire pour cet article est vide.
2009-01-29 18:08:46
KAMPALA (AFP)
© AFP
Les motivations invoquées pour cette interdiction sont des plus intéressantes et amènent plusieurs commentaires :
1. On ne peut qu’accepter certains arguments sur les côtés néfastes de la pornographie. On en a déjà parlé (http://poilagratter.over-blog.net/article-6882604.html) de même qu’en ce qui concerne les branleurs qui ont fait capotés l’ESE. Et on en reparlera puisque le roi des branleurs nous a écrit.
2. Par contre, il est extrêmement intéressant de voir le lien qui est fait par cet abruti de ministre entre pornographie et libération sexuelle. La pornographie est plus sexuelle-répressive (masturbatoire) que libératrice. Le lien avec la mini-jupe est donc absurde.
3. Quand aux liens avec les crimes sexuels, ils sont autant du à la pornographie... qu’à son abscence puisque ces crimes sont le résultat de frustrations qu’engendrent aussi bien la pornographie, qu’une société sexuelle-répréssive comme celle imposée par ce ministre.
4. Intéressant, la dénonciation de l’homosexualité… comme sexualité « inutile ». On doute fort que ce connard de ministre ne baise sa femme qu’une fois par an, uniquement pour faire un gosse. En tout cas, cela en dit long sur la négation de la fonction sexuelle, qui n’est pas que reproductrice, loin s’en faut, ce qu’avait démontrer Wilhelm Reich.
SEXPOL (10)
2009-01-29 18:08:46
KAMPALA (AFP)
© AFP
L'Ouganda s'apprête à interdire la pornographie et à faire condamner à 10 ans de prison ceux qui ont auront produit et distribué du matériel pornographique, a annoncé jeudi le ministre ougandais de la Morale, James Nsaba Buturo.
Le gouvernement a approuvé un projet de loi en ce sens, qui devrait être rapidement voté par le Parlement, a indiqué à la presse le ministre.
La pornographie "c'est un mal, un vice qui corrompt l'esprit", a expliqué M. Buturo, déjà connu pour avoir voulu interdire le port des mini-jupes qu'il juge distrayantes au point de favoriser les accidents de la route.
"Il a déjà été démontré que la pornographie était un poison. Les crimes sexuels, comme les viols de femmes et d'enfants, trouvent évidemment leur source dans ce mal diabolique", a-t-il dit.
Le ministre a aussi estimé que la pornographie était responsable de la promotion d'une sexualité qu'il a jugée déviante, après avoir estimé récemment que l'homosexualité menaçait le taux de natalité et la société d'Ouganda.
"Avez-vous entendu parlé de bisexualité ? De transgenre ? Il y en a d'autres. Il y a beaucoup de nouvelles pratiques que nous préfèrerions ne pas connaître car elles sont absolument inutiles", a-t-il lancé.
En plus de risquer jusqu'à 10 ans de prison, ceux jugés coupables de favoriser la pornographie devront payer une amende de 5.000 dollars tandis que les réseaux organisés dans ce domaine payeront 10 fois plus.
Sexpol (9)
2008-11-28 18:43:31
LAGOS (AFP)
© AFP
Le dalaï lama, le 27 novembre 2008 à Lagos
Le dalaï lama a estimé vendredi que le désir charnel, s'il procure une satisfaction à court terme, complique les choses, tandis que la chasteté procure une plus grande indépendance et une tranquillité d'esprit.
"La pression sexuelle, le désir sexuel, je pense, procurent une satisfaction de courte durée et souvent, conduisent à davantage de complications", a expliqué le chef spirituel des Tibétains lors d'un entretien avec des journalistes, dont l'AFP, à l'occasion d'une visite privée au Nigeria.
Assis en tailleur sur un canapé en cuir dans une suite d'un hôtel de Lagos, le dalaï lama a expliqué que la vie de couple causait "trop de hauts et de bas".
"Naturellement, en tant qu'être humain (...) une sorte de désir sexuel survient mais alors, on utilise l'intelligence humaine pour constater que ces couples ont toujours des problèmes. Dans certains cas, il y a des suicides, des meurtres".
"Donc, c'est notre consolation. Nous passons à côté de quelque chose mais si l'on compare sur une vie entière, c'est mieux. Plus d'indépendance, plus de liberté", a estimé le prix Nobel de la paix ajoutant que l'abstinence causait "beaucoup moins de hauts et de bas".
"Trop d'attachement à vos enfants, à votre partenaire (...) est l'un des obstacles à la tranquillité d'esprit", selon le dalaï lama qui a cité l'exemple de couples vieillissants qui s'inquiétent de la mort prochaine du conjoint.
Prônant le "détachement", il a cependant souligné que le désir, quand il n'est pas charnel, est un sentiment sans lequel "la vie n'aurait pas de sens".
Le dalaï lama achevait vendredi une visite de trois jours au Nigeria où il a été invité par une fondation pour une conférence. Il s'est refusé à faire des déclarations politiques, soulignant le caractère privé de ce déplacement.
Il doit quitter le continent africain dans la nuit de vendredi pour se rendre en République tchèque, puis en Belgique où il s'exprimerera devant le Parlement européen et enfin en Pologne où une rencontre mal considérée par Pékin avec le président français Nicolas Sarkozy est prévue.
On n’a pas eu la place de l’évoquer à l’époque. On notera que l’autre Souverain Pontife reconnaît, contrairement à celui de Rome, que sans plaisir sexuel, on passe à côté de quelque chose.
Il est intéressant de noter aussi qu’il lie, comme celui de Rome, et comme beaucoup de gens, le sexe aux sentiments. Selon lui, la vie n’aurait de sens sans ces sentiments. On est un peu surpris puisqu’il dit que c’est justement à cause de ces sentiments que tous ces problèmes ont lieu.
C’est bien là où Wilhelm Reich et la Révolution Sexuelle interviennent :
les problèmes en question sont le résultat de la jalousie, de l’envie non satisfaite, elles-mêmes conséquences de la sexualité patriarcale de fidélité obligatoire.
la jalousie n’a évidemment rien à faire dans une sexualité plurielle communément acceptée et partagée.
les sentiments peuvent tout à fait avoir leur place dans ce dernier cadre avec un(e) partenaire privilégié(e).
le sexe peut très bien être sans sentiments comme c’est le cas de la masturbation évoquée plus bas. Mais si la masturbation est toujours triste ; le sexe, même sans sentiments, est souvent plus marrante qu’avec sentiments (et justement pour cela, ce qui répond indirectement aux préoccupations de Sa Sainteté).
la vie n’a effectivement pas de sens pour les frustrés qui en arrivent au suicide ou au meurtre pour les plus atteints. En comptant les moins atteints, c’est une large majorité qui souffre.
Ce que propose la religion n’est pas une guérison de cette souffrance et de ces frustrations ; mais un substitut, un placebo, de la méthadone. De l’aveu même de Sa Sainteté, la religion n’est qu’une « consolation ». Le cas des prêtres pédophiles montre clairement l’échec de cette castration métaphysique (Et on ne parle pas de ceux qui se masturbent, bien plus nombreux pour ne pas dire presque tous. Des « tricheurs » dont on ne parle jamais, et pour cause puisqu’ils faussent tout ce beau discours sur l’abstinence et ses prétendues vertus). Ce que propose W. Reich et la Révolution Sexuelle EST la guérison.
PS : rappelons à ceux qui ne nous connaissent pas encore (vous avez plus de 400 pages à vous goinfrer pour cela ; et il nous en reste encore beaucoup à écrire), que nous ne sommes pas une secte partisane d’une sexualité, disons « industrielle ». Mais il est un fait que la majorité des femmes ignorent l’ampleur de leurs potentialités qui va bien au-delà de la capacité à satisfaire d’un seul homme*. C’est pour cela que cela fait peur à nombre d’hommes et qu’ils font tout (port du voile par exemple) pour qu’elles ne le découvrent jamais.
* Lire à cet égard notre article sur ce sujet : http://poilagratter.over-blog.net/article-19869774.html
… et pour répondre au connard qui disait qu’on ne parlait jamais d’amour.
Les hommes ont, outre la concurrence des autres hommes, celles des autres femmes… et de certains animaux, notamment les chiens (la zoophilie : un ENORME tabou non encore brisé : http://poilagratter.over-blog.net/article-24415666.html). C’est dire la tentation de facilité à enfermer la femme dans l’idéologie patriarcale religieuse ou non (le communisme est patriarcal, mais il est vrai qu’étant une secte…) sexuelle-répressive. C’est d’autant plus facile qu’il suffit d’actionner l’attirance de la femme dans sa quête de certitudes pour l’avenir (instinct maternel) que l’ont constate bien avec le fait qu’elles représentent 80 % de la clientèle de l’astrologie. Hors, les religions nourrissent en certitudes : l’opium du Peuple disait Lénine. Et non l’embaumé, puisque ce n’est que de l’ersatz d’opiacé, de la méthadone !
Sexpol (8)
2009-02-10 18:38:35
GUATEMALA (AFP)
© AFP
Le ministre de l'Intérieur du Guatemala, Salvador Gandara, a interdit à ses collaboratrices le port de la mini-jupe et les décolletés profonds pendant les heures de service, au nom de "la bonne image" de ses services, a-t-on indiqué au ministère, cité mardi dans la presse.
Cette décision, en vigueur depuis début février, "a été prise par le ministre pour présenter à la société une bonne image du service public", a expliqué le porte-parole du ministère, Nery Morales.
L'interdiction est limitée au siège du ministère, a-t-il précisé.
La militante féministe guatémaltèque Sandra Moran estime qu'il conviendrait de définir ce qu'est une "bonne image". L'image d'une telle institution ne dépend pas de l'aspect des personnes, mais de ses actions concrètes en faveur de la sécurité, "en particulier des femmes", a-t-elle souligné dans la presse.
Partout, c’est le recul des soi-disant « droits acquis » des féministes officielles. Mais aucunes ne veut l’admettre.
Nous y reviendrons…
Sylvie Noachovitch (2)
Sylvie Noachovitch (2)
SEXPOL (7)
L’incroyable bêtise de la masse (13)
Viol des foules (11)
Livre du mois (18)
Pré-campagne 5ème ESE (7)
Suite de l’article de la semaine précédente sur ce qui est arrivé à Sylvie Noachovitch.
Vu l’importance du sujet autant de la série SEXPOL que de celui de votre bêtise ; il vous dédouane quelque peu car il est aussi à rajouté à celui de la série « viol des foules »… quasiment à prendre au sens propre.
Voici un bouquin (suite à l’excellente émission de M6) qui vaut le déplacement.
Il fut une époque où les tabous étaient si forts que ce fut la mission de la génération hippie que de les détruire.
Aujourd’hui, tous ces tabous ont semble-t-il été abattus… sauf ceux, tels l’épilation et le rôle des phéromones sexuels… qui servent l’apparition d’un nouveau tabou. Et peut-être le pire de tous, que l’on pourrait appeler : « le tabou de l’obligation du pas de tabou » par exemple. Ou une autre appellation à trouver, bref du bouleau pour un universitaire thésard d’un calibre supérieur à ce pauvre Jocelyn qui croyait que l’élève allait surpasser le maître.
Cet article lui montrera qu’il a encore bien des choses à apprendre.
J’irais même jusqu’à écrire que cet article est probablement le plus important de ce Blog et la clef de voûte (avec quelques autres) de l’architecture idéologique PàG.
Parce que dans cette époque où les jeunes croient tout savoir (et ne savent rien, et surtout, plus grave, croyant tout savoir ne cherche pas à en savoir plus).
Parce que TOUS les tabous auraient été brisés.
Il y aurait en quelque sorte OBLIGATION à faire ce qui était hier tabou.
Et c’est là qu’est l’actuel tabou ! Car c’en est un, et de taille !
Exemple cité dans le bouquin : la sodomie.
Hier tabou, c’est devenu aujourd’hui une quasi obligation pour les filles.
Délire total ! Même dans les séries X les plus hard, 20 % seulement des filles pratiquent la sodomie. Pas plus ! Vérifiez-vous mêmes, bande de truffes !
Ce qui n’empêche pas certaines filles d’être des tops, même des séries les plus hard… dans d’autres domaines. Y’a pas que le cul, bordel ! (si j’ose dire). Une autre explication est que tous les anus ne le supportent pas, tout simplement. La sodomie, ça déchire, et ce n’est pas qu’une expression de langage.
On peut dire la même chose de l’éjaculation faciale… et même de la fellation tout court (j’ai connu des baiseuses d’enfer qui n’aimaient pas ça ; et alors ? où est le problème ?) et a fortiori d’autres pratiques que ce Blog ouvert à tous m’invite à ne pas évoquer trop ouvertement.
Ne parlons même pas de l’érotisme. On l’a déjà dit et écrit (recherchez vous-mêmes dans ce Blog), le porno, ce n’est que de la tronche. Ça n’a rien à voir avec la baise ; autrement dit tirer son coup et faire l’amour, ce n’est pas la même chose.
Si vous ne connaissez pas la différence, encore une bonne raison de plus de prendre sa carte à PàG.
Il en est de même de l’amour pluriel. Une partouze, par définition, ce ne peut être que de la tronche, mettez-vous bien ça dans le crâne, bande de zozos ; ceci dit, il existe des pratiques « soft » plurielles qui privilégient l’érotisme sans rentrer dans le viol collectif.
Et j’en passe… pour arriver au délire complet, total, absolu que Sylvie évoque naïvement pour nous et sur lequel nous nous jetons comme sur du pain béni… et dans lequel les communistes qui furent nos anciens partenaires doivent maintenant s’apercevoir à quel point ils se plantent.
Car après l’OBLIGATION de sodomie, de partouze, de fellation, de se faire cracher dessus (souvent à prendre au sens propre également), etc… vient celle des excréments et de le faire avec d’autres races. Fait qui fait qu’on a hésité à mettre le bouquin en « Livre du Mois » car ils n’ont pas osé (pourquoi, serait-ce (encore) un tabou ?) l’évoquer. Pas plus qu’à M6 !
Ben oui, c’est une chaîne du Système. Faut bien dire quelque chose d’intéressant, histoire ne pas laisser aux Blogs le monopole de la révélation « de ce que l’on vous cache », mais il y a des limites. Notamment, silence radio obligé sur ce qui remettrait en cause le Système (voir nos articles sur l’immigration, instrument essentiel de la mondialisation capitaliste comme communiste).
Hors, cela va de pair. Dans le porno, la sexualité interraciale apparaît en même temps et parallèlement à la sodomie. A l’origine le tabou est le même : la sodomie est la pratique des tenants du diable… et le diable est noir comme tout le monde le sait (voir les tableaux de Dante Alighieri). Aujourd’hui, l’OBLIGATION (ou les obligations) est elle-aussi liée. L’affaire Noachovitch le démontre amplement.
Il est intéressant de noter que ce n’est pas dans des revues comme UNION que vous lirez ce genre de choses non plus.
Fort intéressante dans les années 70, cette revue en est réduite à faire le lèche-cul du Système pour survivre. Malgré un contact positif au départ, nous n’avons toujours pas été interviewé pour la campagne pro-poils. Des ordres venus d’en haut ? Qu’ils aillent se faire…
Sexpol (5)
2006-11-25 11:55:04
LE CAP (AFP)
Agées de 20 à 70 ans, certaines sont musulmanes, d'autres chrétiennes, hippies ou femmes d'affaires, blanches ou noires, mais elles parlent toutes de sexe.
Le dernier film de Jo Menell est un documentaire de 30 mn sur des femmes d'Afrique du Sud qui abordent les sujets les plus intimes sans fausse pudeur.
"Il s'agit de donner une voix aux femmes", a expliqué à l'AFP le cinéaste, revenu l'an dernier dans son pays natal après plus de vingt ans aux Etats-Unis.
"Il s'agit de donner aux femmes la capacité d'être maîtresses de leur vie et de leur sexualité", a ajouté Menell, 69 ans, nominé aux Oscars pour le film "Mandela" il y a dix ans.
Son documentaire vise à encourager les femmes à prendre le contrôle de leur vie sexuelle dans l'un des pays du monde les plus touchés par le VIH-sida et le viol.
Devant la caméra, une vingtaine de femmes n'hésitent pas à briser les tabous, parlant godemichés, sexe anal et oral, pornographie, échangisme, etc...
"Notre société ne parle pas de sexe", lance une trentenaire. "Mais nous les femmes, nous parlons de sexe tout le temps. Et nous parlons de tout ce qui a rapport avec le sexe."
Certains donnent leur prénom, la plupart ne sont pas identifiées.
La majorité déplore ne pas avoir pu parler de sexualité avec leurs parents étant jeunes et décrivent de douloureuses et choquantes premières expériences.
"Dans ma famille, le sexe n'existait pas et je pense que c'est toujours le cas", raconte une jeune femme, qui confie avoir fait l'amour avec trois hommes en même temps.
Choqué par l'ampleur de la pandémie du sida dans son pays, Menell a voulu faire un documentaire sur le sujet.
"Plus je m'informais et plus je déprimais. L'épidémie est hors de contrôle et nous avons un gouvernement au mieux récalcitrant, au pire criminel", condamne le cinéaste. Des "masses" d'argent sont dépensées, le pays compte "pléthore d'ONG", mais le but n'est pas atteint.
"Une ampoule s'est allumée dans ma tête: j'ai réalisé que le sida concerne le sexe, les hommes et les femmes. Et nous sommes dans un pays où les femmes ont peu de droits sur leur propre corps."
Il publie une annonce dans les journaux en quête de femmes prêtes à parler de sexe devant une caméra. Plus d'une centaine répondent. Ils les a filmées discutant entre elles, devant un café ou un verre de vin, de la taille du pénis ou de la masturbation.
"C'est tabou pour l'islam. Mais... c'est la vie", lance une musulmane à propos des plaisirs solitaires.
Sous les rires gênés de ses compagnes, une jeune fille d'une vingtaine d'années raconte qu'elle adore la sodomie.
"Une amie m'a offert un vibromasseur pour mon anniversaire, dit une autre. C'est génial. Mon petit ami n'était pas enthousiaste. Il s'est senti menacé. Il n'a jamais voulu que je m'en serve."
Elles échangent des conseils sur la fellation, le cunnilingus ou la façon de prévenir l'éjaculation précoce.
Une femme, la soixantaine, avoue sans rougir: "J'ai quelques fois fait l'amour à trois".
Plusieurs ont été violées, y compris par un proche, et beaucoup connaissent des hommes qui refusent le préservatif.
"Le système permet aux hommes d'avoir un accès sans limite à nos corps, dénonce l'une. On apprend aux femmes à être passives. Et si elles montrent qu'elles aiment faire l'amour, on les traitera de putes."
Mais certaines femmes sont décidées à changer ça: "Quand on commence à penser comme un homme, on s'éclate davantage en faisant l'amour parce qu'on a le pouvoir. On peut dire oui, là, maintenant et comme ça, sans se sentir coupable."
Sur le générique de fin, une autre lance: "J'ai découvert la meilleure raison d'être une femme et c'est l'orgasme multiple!"
Le film, actuellement sur les écrans au Cap, a coûté 2.000 dollars et Menell entend en vendre les copies environ 30 rands (quatre dollars) l'une avec la mention: "Copier svp".
Sexpol (4)
Sexpol (4)
La question ne s’est même pas posée de savoir si on mettait ce pavé dans la rubrique « livre du mois ».
C’est évidemment non !
Ceci dit, sa lecture est cependant très intéressante :
Dès sa naissance, le MLF annonce se différencier des autres mouvements féministes, et notamment par son refus de la libération sexuelle (Freud, Reich ? Des mâles ! Quelle horreur !).
Ne chercher pas non plus de photos de femmes non épilées. Y’en a… mais vues de loin ; ou pire encore, la photo volontairement assombrie en contraste pour que l’on ne distingue pas le poil de l’ombre sur l’aisselle. Par contre, les photos récentes, où elles sont rasées de près, sont beaucoup plus claires de façon que l’épilation soit bien visible.
A noté aussi une photo d’une manif de femmes à Téhéran en 1979. Pas un voile à l’horizon. On disait à l’époque que l’avenir était devant nous. Loin d’imaginer qu’il était en fait… derrière.
Mais le clou vient en 1980 dans le texte de sabordage du MLF… lorsque Fouque dépose ses statuts… au moment où la lutte n’avance plus mais recule avec la percée des intégrismes religieux.
L’ambiguïté est clairement levée avec l’annonce que le MLF est un mouvement de lutte contre le phallus. Une masse de départs des naïves qui ne l’avaient pas encore compris en sera la conséquence.
On a là le même processus déjà observé avec ATTAC lors de la main mise des communistes. Le MLF n’était rien d’autre qu’un syndicat de gouines et de mal baisées.
Un point essentiel de la Révolution sexuelle est pourtant de remplacer le « vide-couilles » patriarcal par le « faire l’amour ». On peut donc effectivement parlé de mal baisées au sens propre comme au sens figuré puisqu’elles n’ont jamais su (et manifestement voulu) faire la différence.
On en veut pour preuve le mail que les matriarcales allemandes (http://www.myspace.com/fensalio) nous ont envoyés :
J'aurais quelques rectifications á faire sur la sexualité féminine et qui risquent de faire jaser dans les chaumières. Cette histoire est en rapport avec la domestication sexuelle de la femme ET de l'homme par les idéologues patriarcaux soucieux de préserver leur idéal guerrier, leurs conquêtes territoriales, économiques et l'accroissement de leurs esclaves/serviteurs, etc.
Femme et homme ne partagent pas du tout le même mode de sexualité. La première agit normalement quand elle a plusieurs partenaires l'un à la suite de l'autre, d’où son incapacité ou sa difficulté à jouir avec un seul homme. C'est la nymphomane - tant honnie par le patriarcat et pour cause ! - qui est normale. Cela n'exclut pas quelque amitié amoureuse entre un homme et une femme. Les femmes sont conçues pour avoir plusieurs orgasmes d'affiler et non les hommes. Or la sexualité pléthorique des femmes a toujours effrayé les hommes. Tu devrais leur demander pourquoi.
J'ai lu ça dans Borneman, L'histoire du patriarcat, qui rapportent aussi que les femmes payent au niveau de leur santé la mauvaise pratique de leur pseudo-sexualité. Un grand nombre d'entre elles souffrent de myomes et doivent souvent se faire retirer l'utérus.
Je ne comprends pas que la médecine ne s'interroge pas sur ces anomalies et qu'une grande campagne nationale ne soit mise en branle qui devrait soulager, en temps de crise, les caisses de maladie !
La femme patriarcale domestiquée, ignorant tout de sa sexualité, ne peut rêver que "d'un prince charmant, si possible à vie" qui ne la satisfera pas plus qu'elle ne le satisfera. C'est exactement ce dont a besoin le patriarcat : des frustrés et des névrosés qui vont se défouler avec une consommation effrénée de produits de substitution inutiles ou bien qui vont se défoncer pour faire tourner la machine patriarcale en touchant quelques escargots.
Salut ! Et continue de taquiner tes contemporains qui roupillent tandis que la vie leur passe dessus sans qu'ils s'en aperçoivent.
On retrouve là, notre page du « viol des foules N°7 » : http://poilagratter.over-blog.net/article-19869774.html
Contrairement aux autres mouvements féministes, NPNS et nous-mêmes inclus, les hommes sont interdits au MLF… même castrés !
Pour être objectif, on ne saurait nier le rôle joué par le MLF à ses débuts dans la lutte pour certains droits (avortement, contre le viol). Mais très vite, il devint l’instrument d’un Système inquiet de la Révolution hippie, pour contrer sa révolution sexuelle ; puis s’est sabordé, le mouvement hippie n’existant plus, et ce, malgré la percée religieuse intégriste qui rendait un mouvement féministe plus que jamais nécessaire.
Aujourd’hui, alors que les femmes sont sacrifiées en échange de la paix (la Charia contre la paix) au Pakistan (la Somalie s’apprête à faire de même)… et par Obama lui-même également en Afghanistan ; il est plus qu’évident que la défense des droits des femmes ne peut se faire sans l’appui des forces armées… autrement dit ne peut se faire sans l’aide des hommes. Ce sera bientôt aussi le cas en France.
C’est dire si un mouvement féministe exclusivement composé de femmes est devenu (s’il n’a jamais été) absurde.
Conclusion, prenez votre carte à PàG, les meufs ! Les conneries qweer, ça suffit ! L’heure est grave !
Sexpol (2)
2009-02-24 18:31:18
LISBONNE (AFP)
© AFP
Photo de "L'origine du monde" de Gustave Courbet
La police portugaise a saisi des exemplaires d'un livre reproduisant "L'Origine du monde" du peintre français Gustave Courbet, arguant que cette représentation réaliste du sexe d'une femme était pornographique, a dénoncé mardi l'organisateur d'une foire du livre à Braga.
"Trois agents ont saisi les cinq exemplaires d'un livre intitulé +Pornocratie+, arguant que la couverture (qui reproduit le célèbre tableau de Courbet, ndlr) présente des images à contenu pornographique, et dressé un procès-verbal au vendeur qui était là", a déclaré à la radio TSF Antonio Lopes, propriétaire d'une société d'édition.
"C'est une honte, un attentat à la démocratie et un acte de censure", a-t-il dénoncé.
Le responsable de la Police de sécurité publique (PSP) de Braga (nord) a rejeté ces accusations et expliqué que ses hommes avaient agi à la demande des parents d'un groupe d'enfants dont cette image avait attiré l'attention.
Les autorités ont saisi les livres "non pas par censure mais pour éviter des accrochages" entre les parents et les libraires, a affirmé le Sous-intendant Fernando Henriques Almeida à l'agence Lusa.
Peint en 1866, "L'Origine du monde" avait choqué la société bourgeoise de l'époque. Le tableau de Gustave Courbet est exposé au Musée d'Orsay, à Paris.
Un exemple, et des plus frappant, qui montre que mai 68, c’est à des années lumières derrière nous. D’autant plus grave que le Portugal doit sa liberté à l’esprit de 68 qui mit fin, en 1975, à la dictature Salazar.
Mais cet exemple montre surtout le problème que les portugais ont avec le poil. Il en existe en Espagne, mais au Portugal rien, rien de rien de comparable à notre mouvement de lutte contre l’épilation.
Il y a plus de 10 ans déjà, alors qu’en France l’épilation commençaient seulement a se généraliser ; au Portugal, il y avait déjà belle lurette que toute pilosité axillaire avait disparue ou était devenu non visible.
Quel dommage lorsque l’on a connu comme moi, adolescent et jeune adulte, toutes ces filles issues de l’immigration portugaise en Ile de France, toutes ces filles à l’abondante et extraordinaire pilosité (y compris les blondes), dont presque aucune n’étaient à l’époque épilée.
Voir galerie « nos copines » :
Seulement voilà, l’immigration magrébine de filles épilées (sauf les marocaines) est passée par là et les portugaises se sont senties, hélas, obligée de se raser.
On attend toujours des réponses à notre petite annonce :
Pour en revenir au tableau de Courbet, pourtant peint en pleine période réactionnaire et pudibonde victorienne ; qu’il puisse il y avoir de telles réactions est totalement révélateur du retour à la pudibonderie la pire.
Nous n’en sommes surpris qu’à moitié. Lors du 4ème ESE de l’année passée, nos partenaires communistes nous ont imposé que ce tableau figure sur une des affiches de cette campagne. Nous avions refusé cette provocation manifeste arguant que nous n’avons pas les moyens de nous payer un avocat en cas de problème. Comme d’habitude, ces saboteurs n’en eurent cure et maintinrent leurs positions (vous pouvez le vérifier sur leur site).
Heureusement, qu’en saboteurs qui se respectent, ils ne collent jamais d’affiches ni ne distribuent de tract. Il n’y a que nous pour cela… et on s’est bien gardé de coller cette affiche là. (que cela fasse réfléchir ceux qui doutent encore que notre cause ne percera jamais avec les communistes)
Bien nous en pris !
SEXPOL (1)
SEXPOL (1)
On nous l’a reproché, et à juste titre, on n’en parle pas assez. Pas assez de sexe, d’amour et de sexualité. Ce qui est effectivement un comble pour un mouvement qui se réclame de la SEXPOL de Wilhelm Reich.
Ça tombe bien, le printemps arrive, les bourgeons ne vont pas tarder à sortir, et c’est le bon moment entre la campagne hivernale sur la surpopulation et la campagne estivale anti-épilation (si cette dernière a lieu) pour lancer une campagne de printemps SEXPOL dont voici quel sera le Logo :
…et qui sera concomitante, simultanée et parallèle à la pré-campagne du 5ème ESE (qu’on lance donc en même temps).
41 ans après 1968, 52 ans après la disparition de Wilhelm Reich, 28 ans après l’accession (provisoire) de la Gauche au pouvoir en France, 27 ans après la dernière parution du mensuel SEXPOL (et oui, ça a existé, de janvier 1975 à mai 1980 pour être précis) de Gérard de Ponthieu ; que reste-t-il de la SEXPOL aujourd’hui ? Et, plus important, quel avenir, si avenir il est possible, pour la SEXPOL ?
On ne va pas épiloguer encore sur Besancenot qui n’a retenu de mai 68 que les barricades, les pavés et Che Guevara aux mains rouge de sang, lot commun de toutes Révolutions ; alors que la spécificité de mai 68 est complètement ignorée (censurée ?) de son bouquin. Pas une seule fois les mots de hippie, Révolution sexuelle, SEXPOL, Peace & Love ou Woodstock ne sont prononcés ; pas une seule fois les noms de Gandhi, John Lennon, Bob Dylan, Wilhelm Reich, Herbert Marcuse, Andy Warhol, etc… ne sont prononcés. Et j’en passe ! Hors mai 68, c’était d’abord et surtout ça.
Une façon très communiste, très « 1984 » (Le livre de George Orwell) de faire de l’Histoire. Un devoir de mémoire à géométrie variable, avec en plus une forte dose d’Alzheimer.
Pour commencer cette importante série d’articles, voici le récapitulatif des articles SEXPOL déjà publiés : http://poilagratter.over-blog.net/article-7360380.html
http://poilagratter.over-blog.net/article-7364072.html
http://poilagratter.over-blog.net/article-18933990.html
et aussi :
Power of Love : http://poilagratter.over-blog.net/article-6882629.html
Biographie de Wilhelm Reich : http://poilagratter.over-blog.net/article-5842467.html
et également : http://poilagratter.over-blog.net/article-19869774.html
Et pour ceux sus-cités, donneurs de leçons qui savent mieux que quiconque ce qu’il faut faire (et ne font jamais rien), voilà l’occasion, par le biais des commentaires, d’en parler.
Donc, je vous écoute, bande de ploucs.
Amanda Palmer
2009-02-06 17:39:12
LONDRES (AFP)
© AFP
La chanteuse américaine Amanda Palmer, en tournée mondiale après la sortie de son album "Who killed Amanda Palmer?" fait scandale en Grande-Bretagne où les radios et les chaînes de télévision musicales interdisent d'antenne une chanson sur l'avortement.
Dans le morceau intitulé "Oasis", l'artiste américaine raconte l'histoire d'une jeune fille qui décide d'avorter après avoir été violée au cours d'une soirée où elle était sérieusement éméchée. Et elle s'en moque, car elle a reçu par la Poste un autographe de son groupe préféré, Oasis.
Seule la station de radio BBC6, spécialisée dans les musiques alternatives, a accepté de diffuser cette chanson, mais une seule fois: dans le cadre d'un long entretien avec la chanteuse à l'occasion de son passage à Londres.
"Quand je me suis fait avorter, j'ai emmené mon petit ami. On est arrivés avec une heure d'avance au rendez-vous. A l'extérieur, il y avait ces emmerdeurs de fondamentalistes chrétiens. On a essayé de les ignorer": ces paroles ont valu à l'artiste d'être accusée de banaliser l'avortement, de tourner en ridicule la religion et de cautionner le viol.
Sur son journal électronique (blog.amandapalmer.net), la chanteuse se défend d'avoir voulu choquer ou blesser quiconque mais elle revendique "la liberté de rire de tout".
© AFP
"J'ai écrit cette chanson en 2002, sans penser à mal mais juste en me disant que cette adolescente écervelée existait et que ce n'était pas un crime d'en parler", écrivait-elle mercredi, à la veille de son concert londonien.
Amanda Palmer, qui a mimé la chanson dans un clip vidéo, rappelle que BBC6 est une entité du groupe public BBC qui avait censuré dans les années 1980 des groupes britanniques comme les Sex Pistols ou Frankie goes to Hollywood.
"Avec le monopole des canaux de distribution et le retour d'Oasis sur scène, il ne fallait pas s'attendre à ce que MTV nous déroule le tapis rouge", admet-elle.
Ancienne chanteuse du duo des Dresden Dolls, originaire de Boston, Amanda Palmer reste avec sa bande de clowns en bretelles et de poupées provocantes dans la veine du "cabaret punk brechtien" de ses débuts en 1990.
© AFP
Refusant les compromis autant que d'être utilisée comme figure de proue d'un mouvement engagé, l'artiste espère que le public s'intéressera au reste de son répertoire, mélange de compositions et de reprises dans un esprit poétique et loufoque.
Artiste hors norme, elle a repris la chanson "Amsterdam" de Jacques Brel, arpentant les rues du quartier de cabarets et de magasins érotiques Pigalle à Paris, malgré sa béquille après une fracture.
Collants résille déchirés et tignasse hirsute, elle enchaîne les concerts. Elle devait se produire au Divan du Monde à Paris vendredi, puis à Toulouse le 11 février, avant de visiter plusieurs villes européennes et l'Australie à la fin du mois.
Lors de son concert à Londres, dans la salle de l'Electric Ballroom de Camden, la chanteuse a entonné la chanson à l'origine du scandale sur un ton triste et recueilli, contrairement à la version originale enjouée, avant de reconnaître au-dessus de son clavier: "Je ne peux pas le faire comme ça (...) Si on ne peut plus rire de la noirceur de la vie, c'est que la noirceur a gagné".
Au lendemain du concert londonien, la chanteuse s'étonnait tout de même de l'ampleur de "l'affaire Amanda Palmer": "Moi qui croyais que l'Angleterre était le pays de l'humour noir !"
Nos articles sur Amanda : : http://poilagratter.over-blog.net/article-20459737.html
http://poilagratter.over-blog.net/article-20611903.html
Décidemment, cette fille a vraiment quelque chose de SEXPOL. Une digne héritière de Patti Smith.
Transpiration.
Transpiration.
Bien ! Puisque personne à part Didier n’a voulu donner son opinion sur cet article, je vais m’y coller.
Il est un fait que la transpiration est le vecteur transporteur de ces fameuses phéromones sexuelles.
L’expression : « Je peux pas te sentir ! » du langage populaire exprime bien l’existence de phéromones sexuelles non compatibles entre 2 personnes.
Problème, le Système, pour vendre ses parfums (phéromones artificielles) et ses anti-transpirants (anti-phéromones naturelles) cherche, et arrive à faire croire que la transpiration : ça pue !
Ce n’est le cas que si les phéromones sexuelles sont non compatibles.
Un des facteurs non reconnus par les spécialistes de l’augmentation des divorces et des violences conjugales est tout simplement lié à la constitution de couples qui n’aurait jamais du se constituer si les phéromones sexuelles naturelles n’avaient pas été remplacées ou masquées.
Dans les boîtes de nuit, au lieu de masquer ces phéromones (mais aussi, il faut bien le dire, les odeurs de crasse de gens qui ne se lavent pas) avec des diffuseurs de parfums, les propriétaires devraient plutôt éteindre les lumières pour permettre aux phéromones sexuelles compatibles de mieux se rencontrer. Un speed-dating d’un nouveau genre bien plus efficace que celui des super-menteurs qui existe aujourd’hui.
Lorsque l’on sera plus nombreux (si jamais ça arrive un jour), il faudra organiser des speed-dating de ce type.
Le seul point où le Système à raison, c’est lorsqu’il associe les poils et la transpiration (car son combat contre les 2 rapporte du fric).
Il est un fait qu’à chaque poil est associé une glande sudoripare. Le poil est la partie excitante visuelle, l’odeur la partie excitante odoriférante, proprement phéromonale.
Comme tout parfum, la sueur est un liquide qui pourrait se mettre en bouteille. On ne voit pas vraiment la cause de cette détestation générée par le Système (hormis le fait d’en faire du fric) ; les végétaux produisent eux-aussi ce liquide, la rosée… qui est justement utilisée par les fabricants de parfums. Une sacrée contradiction !
Il y a quand même quelques recherches qui sont faites.
Reese Witherspoon
2008-03-04 22:19:39
NEW YORK (AFP)
© AFP
L'actrice américaine Reese Witherspoon a prêté mardi son image à la campagne globale des Nations unies contre les violences faites aux femmes en rejoignant un partenariat créé dans ce but entre l'ONU et l'entreprise de cosmétiques Avon.
La comédienne, ambassadeur de bonne volonté d'Avon pour l'aide à l'autonomisation des femmes, a exprimé son soutien à un partenariat à long terme entre la compagnie et le Fonds de développement des Nations unies pour la femme (Unifem).
"Je soutiens avec force les efforts d'Avon et de l'Unifem pour mettre fin" aux violences contre les femmes, a-t-elle déclaré dans une conférence de presse, où elle a présenté un "bracelet pour l'autonomisation des femmes" fabriqué par Avon.
"Chaque achat de ce bracelet contribuera" à la cause, "l'intégralité des profits allant directement à une fondation créée par Avon pour soutenir l'Unifem dans ses efforts pour mettre fin aux violences faites aux femmes", a-t-elle dit.
La présidente d'Avon, Andrea Jung, a indiqué que la fondation Avon doublera la somme recueillie dès que les ventes du bracelet auront atteint 500.000 dollars.
La donation totale, un million de dollars, sera versée à un fonds spécial de l'ONU pour mettre fin aux violences faites aux femmes, géré par l'Unifem, a indiqué Mme Jung, précisant qu'il s'agira du "plus important don fait par une compagnie privée" à ce fonds en une année.
Les deux femmes devaient s'exprimer plus tard lors d'un symposium à l'ONU intitulé "Sommet global pour un avenir meilleur", devant marquer la Journée internationale de la femme, qui sera célébrée samedi à travers le monde.
On a déjà pu voir l’hypocrisie du capitalisme en matière d’écologie dans cette arnaque qu’est le Développement Durable.
En voici une autre qui n’est pas mal non plus : Avon, l’un des leader mondial des produits d’épilation, une indéniable violence faite aux femmes ; essayant de se refaire une virginité en parrainant une association de lutte… contre les violences faites aux femmes.
Si le 4ème ESE n’est pas un échec (et ça dépend encore une fois de vous), le 5ème de 2009 pourrait avoir pour thème central justement les violences faites aux femmes dont l’épilation est l’une d’elles.
Odeurs & sueurs
Odeurs & sueurs
… et si en plus on y rajoute des poils visibles (et trempés)….
Trucage
Trucage :
Avant :
Après.
L’épilation est même jugée insuffisante par ses menteurs de la publicité. Conséquence, on est pas à un petit mensonge de plus près, on truque les photos pour faire disparaître même ce qui reste de fossile de racine pileuse. Par la même occasion, on y fait disparaître aussi les rides (souvent conséquence de l’épilation justement) et même les veines. Cette dernière caractéristique constituant le propre des vampires et des morts-vivants.
Ainsi, voila donc l’image de la femme parfaite et idéale selon la publicité. Un clone de Kate Beckinsale (d’ailleurs non-épilée à ses débuts) dans Underworld.
Après tout rien d’étonnant. N’est-ce pas le rêve secret de tout publicitaire que de voir les masses devenir des zombies bien soumis aux slogans : « Obéis, consomme, travaille » comme dans un autre film, un John Carpenter de ses débuts.
