Actualités (83) :
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Objet : Tr : COUP DE GUEULE DE LA SEMAINE DE PATRICE SPIESS
Encore une histoire de bénévolat ou un autre David Douillet ? ,
Vive le football !!!
Sujet : COUP DE GUEULE DE LA SEMAINE DE PATRICE SPIESS/ A DIFFUSER
Article des Dernières nouvelles d'Alsace de ce lundi 4 MAI 2009
DNA : rubrique chuchotements : TOLERANCE
Adrien Zeller notre Homme politique de la région avait invité l'ex
footballeur LILIAN THURAM ( vous savez le donneur de leçon sur les
banlieux et le karcher ) 142 sélections en équipe de France, membre du
haut conseil à l'intégration !!!!!!!!! pour ses engagements contre le
racisme, à venir témoigner face à des Lycéens, pour la clôture du Mois de
l'Autre.
THURAM a répondu avec un tarif : 20000 EUROS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! POUR
UNE INTERVENTION D'UNE HEURE ET DEMIE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!. La région
ALSACE a fait une nouvelle tentative en expliquant le sens noble de la
démarche qu'elle mène auprès des Jeunes, avec le rectorat, en faveur de la
tolérance; elle ne pouvait lui proposer que 1500 €, tous frais payés.
Nouveau refus de THURAM .
" On ne vit hélas pas dans le même monde " lui a alors écrit Monsieur
Adrien ZELLER en faisant référence à celui du foot pourri par l'argent.
Je suis choqué et ecoeuré par THURAM qui ferait mieux de " karcher " sa
cervelle QUE DE NOUS DONNER DES LECONS DE RACISME ET DE TOLERANCE !!!!
Moi, je connais beaucoup de Personnes qui seraient heureuses de gagner
20000 EUROS par mois !!! (NDLR : sans compter les émoluments de sa superbe
amie Karine Lemarchand)
De qui se moque-t-on ?
Qu'il aille se faire foutre ce con !!!!!!!!!!!!!!! Voilà c'est dit !
PATRICE SPIESS
Arte: programmes d'été sous le signe des années 80
Mots clefs: médias ; audiovisuel ; programmes
Medias 09/06/2009 13:33
La chaîne Arte France a annoncé mardi des programmes d'été placés sous le signe des années 80 avec un retour sur les films cultes et l'inventivité musicale qui ont marqué la décennie.
Pour Christoph Hauser, directeur des programmes d'Arte, ces années ont été marquées par "le foisonnement d'un cinéma qui n'a jamais été aussi international" et "l'éclatement de la musique en multiples tribus".
Reprenant une formule qui avait valu un succès d'audience à Arte à l'été 2008, placé sous le signe des années 70, la chaîne a de nouveau chargé Philippe Manoeuvre, présentateur de l'émission "Les enfants du rock" dans les années 80, de présenter deux fois par semaine, les mardi et jeudi de juillet et août, des soirées spéciales "eighties".
Neuf films qui ont marqué le cinéma des années 80 sont au programme, notamment "37°2 le matin", de Jean-Jacques Beinex (le 21 juillet), "Scarface", de Brian de Palma (le 28 juillet), "Paris, Texas", de Wim Wenders (le 6 août), ou encore "L'été meurtrier", de Jean Becker (le 18 août).
Des films courts, tournés avec un téléphone portable, sur des thèmes inspirés des années 80 ont été confiés à cinq réalisateurs (diffusion le 23 juillet).
"Nous allons tenter de faire revivre la diversité musicale des années 80 - new wave, pop, post punk, hip hop, gothic, metal - à travers des documentaires et des concerts", a indiqué de son côté Emmanuel Suard, directeur adjoint des programmes. Il a notamment annoncé "des portraits d'artistes majeurs" de la période, comme Prince, Michael Jackson ou Madonna.
Pour sa part, Philippe Manoeuvre, qui avait présenté l'été dernier sur Arte un "Top of the Pops" des années 70, se souvient surtout des Rita Mitsouko, pour la France, qui lui semble "résumer toute la décennie au niveau créativité" et, pour les pays anglo-saxons, Talking Heads, "arrivés à des choses absolument sublimes".
"Pour Arte, l'été est le moment idéal pour ouvrir son antenne à plus de divertissements et de légèreté, en touchant un public plus large et plus jeune", a souligné Christoph Hauser.
Dans la suite du « Summer of Love, été 1967 » de 2007, « Seventies » de 2008 ; voici les « eighties ».
Une décennie charnière très intéressante. La Révolution sexuelle franchi une nouvelle étape. Après s’être caractérisée par sa nature anti-capitaliste, anti-bourgeoise et surtout anti-consumériste (l’écologie est née dans les communautés hippies), les années 80 marquent un virage loft pour loft. C’est bien sur, l’arrivée de Mitterrand au pouvoir (et celle de la gauche-caviar) qui politiquement, sert de jalon marqueur en 1981. Musicalement, puisque c’est le fil rouge choisi par Arte (et qui est un excellent fil rouge, la musique ayant joué un rôle fondamental dans la Révolution sexuelle), les années 80 c’est le triomphe du Disco. Apparu lors de la décennie précédente, c’est une évolution de la soul qui découle elle-même du blues. Donna Summer en est l’icône la plus remarquable. C’est ABBA, le 1er groupe blanc qui s’en empare (1975) suivi l’année d’après par les Bee Gees (et Travolta au cinéma). Mais l’apogée se situe dans les années 80 avec des groupes noirs comme Kool and the Gang, KC and the Sunshine Band et chez les blancs, Madonna évidemment. Même la France en est avec Cerrone et Patrick Hernandez (chez qui Madonna débuta). L’Allemagne aussi avec Nena. Ce n’est bien sur qu’un résumé. Mais ce qui caractérise le disco est qu’il est ouvertement et franchement commercial.
C’est a cette même époque que l’on passe du cinéma érotique (Emmanuelle, 1973) au porno, au X. La révolution sexuelle a bel et bien été récupérée par le capitalisme contre qui elle était dirigée initialement. C’est une parfaite illustration du propos d’Herbert Marcuse qui affirmait que le capitalisme se nourrit de ses contradictions au contraire de ce qu’affirmait Marx qui assurait que le capitalisme mourrait des dites contradictions. On en aura une preuve de plus récemment avec le Développement Durable.
Bien sur, les années 80, ce n’est pas que le Disco. Le Rock atteint son apogée avec U2 et INXS, Joan Jett. Le post-Punk atteint aussi son âge d’or avec Nina Hagen, Pretenders. Il y a aussi des retours en arrière avec le Rockabily des Stray Cats. Les hippies n’ont pas disparus avec son dernier grand groupe, Fleetwood Mac auquel se rajoute des valeurs commerciales issues de la génération précédente : Supertramp, Genesis. Les hippies militants sont toujours là avec Patti Smith. L’underground est toujours là-aussi avec Blondie qui nous fait connaître le rap dès 1982. Et on pourrait en citer bien d’autres.
Mais c’est l’âge d’or, l’apogée. En discothèque, au Club Med, c’est la baise industrielle ! L’immigration, ses mœurs rétrogrades et le sida ne tarderont pas à y mettre un terme.
Les années 70 ont vu près de 1.000 groupes prétendrent au Top Ten. Ils ne sont plus qu’une centaine dans les années 80, une vingtaine dans les années 90… et quelques-uns à peine (Dresden Dolls, Crucified Barbara, Amy Whinehouse, Pink) dans l’actuelle décennie qui tire à sa fin. Rock & Folk titrait il y a peu : « Le Rock est-il mort ? »
Le dernier slow date de 1994 (I’ll stand by you, album « Last of the Independents » (un titre prémonitoire) des Pretenders). Fin d’une époque ! La page de la Révolution sexuelle est tournée et l’épilation devient majoritaire chez les filles.
Villiers-le-Bel :
Le dossier est (enfin) bouclé et le procès va commencer à Pontoise pour les émeutes où des policiers ont été atteints par des tirs d’armes à feu. Comme on l’avait écrit à l’époque (voir les N° d’Actualités de l’époque), MAM avait fait sa sévère et dit qu’ils passeraient aux Assises. Du blabla, avait-on écrit ! Et effectivement, ils passent tous en correctionnelle, comme on l’avait écrit ; où ils risquent au plus 7 ans, n’en prendrons que 3 (assorti de sursis) et sortiront donc libre, ayant déjà fait leur temps.
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