La Gauche qui marche sur la tête (2)

20 Mai 2010 , Rédigé par momo Publié dans #Politique

La crise agricole

http://actu.voila.fr/actualites/economie/2010/05/17/la-distribution-modere-ses-marges-satisfaisant-en-partie-les-agriculteurs_550145.html

Le modèle de société que nous propose Sarko serait soi-disant libéral et capitaliste. En vérité, comme on le voit avec la Sécu, les syndicats et dans bien d’autres domaines, la société dont Sarko est le Président… est une société qui s’apparent plus au communisme. Mais en-a-t- il bien conscience ? A l’entendre, certes pas… quoique vu sa meuf, une communiste. En fait, il s’agit d’une société capitalo-communiste, un cas semble-t-il unique au monde… et très différent au contraire de son inverse, la société communo-capitalisme à la chinoise.

L’exemple le plus remarquable est celui de l’agriculture.

Nos capitalistes se gaussaient il y a quelques années de l’URSS où le prix du kilo de blé était plus élevé que celui du kilo de pain : une aberration économique que la matière première puisse être plus chère que le produit fini.

Et qu’avons-nous en France ?

Des prix des matières 1^ères agricoles qui sont fixées, non pas par les producteurs ; comme cela devrait être le cas, compte tenu du prix de revient plus leur bénéfice qui constitue leur revenu ; mais par l’acheteur. Attention, pas n’importe quel acheteur. Pas le consommateur, mais le grossiste.

C’est très capitaliste, ce que sont les grossistes… et qu’ils sont les seuls à être puisque ni les consommateurs, ni les agriculteurs ne sont des capitalistes ; très capitalistes donc, mais aussi aberrant que le système soviétique dénoncé plus haut.

Voici l’exemple de soi-disant libéralisme à l’américaine que nous vante Sarko. A l’américaine effectivement où un lobby, raciste qui plus est (les grossistes de Rungis sont presque tous… des békés des Antilles), dicte sa loi capitaliste, qui n’a rien à voir avec les principes de base et les règles d’une économie libre et libérale, aussi bien aux producteurs qu’aux consommateurs qui sont les dondons de la farce et les rackettés et prostitués de ces maquereaux, où comme en URSS, par la force de la Loi, des règles commerciales contraire à la logique économique, sont imposées. Et comme en URSS, l’aberration est corrigée par des subventions que doivent payer et supporter le contribuable. Ce qui fait que l’on se fait entuber 2 fois, en tant que consommateur et en tant que contribuable. Quelque chose que le pecnot de locavore qui nous insulte régulièrement n’a évidemment pas plus vu que ce qui se passe à Tremblay.

Tant que le contribuable peut payer et que l’aberration n’est pas trop énorme à corriger (subvention aux producteurs lésés), ça marche tant bien que mal mais la correction doit être révisée régulièrement (manifs régulières des producteurs). De plus vient se greffer la concurrence déloyale des producteurs de merde de l’Europe avec des travailleurs immigrés (Espagne et maintenant Pologne et bientôt Ukraine, Turquie, Maroc).

Mais si le pouvoir d’achat baisse, du autant à la baisse des salaires des consommateurs, qu’à la hausse des prix des produits (car acheter à bas prix aux producteurs ne leur suffit pas, ils vendent aussi à la hausse aux détaillants et même aux consommateurs par le biais de la grande distribution qui leur permet d’être aussi les détaillants et en supprimant un intermédiaire d’augmenter encore leurs profits), qu’à celle des impôt ; le système qui repose à la base et toujours par définition sur le consommateur, si ce dernier ne consomme plus… il s’effondre. C’est exactement ce qu’il s’est passé en URSS et ce qui nous pend au nez… pour quasiment les mêmes raisons.

Voilà ce qui caractérise la société capitalo-communiste, Président Sarkozy, que nous avons. Et si l’on rajoute que le lobby béké est l’un des principaux bailleurs de fonds de l’UMP… vous avez tout compris.

Continuez à voter pour eux (ou pour ceux d’en face qui ne valent pas mieux) et à ne pas soutenir notre Mouvement. Tas de cons ! Avec des abrutis de votre espèce, ces fumiers ont encore de beaux jours devant eux.

PS : c’est 10 sacs le cours d’économie politique, tas de fumiers et de radins, ramassis d’enfoirés.

Ce qui me console, c’est qu’en ne nous soutenant pas (et en soutenant par conséquent Sarko et sa politique sus-mentionnée) ; ça vous coûtera bien plus cher que 10 sacs.

Radins, ordures, collabos… et cons en plus !

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